Oui, contrairement à ce qui se passe dans certains pays, en France les chauffeurs VTC doivent avoir une licence pour agir en tant que tel. Ces licences dépendent des Communautés Autonomes et de certaines préfectures et ce sont elles qui déterminent les quantités et les besoins.

Dans ces licences réside également une grande différence par rapport aux taxis. Alors qu’un chauffeur de taxi ne peut avoir que deux licences de taxi, en général il n’y a pas de limite de licences VTC par personne.

Et la différence de prix était quelque chose qui établissait une différence abyssale entre un VTC et un taxi. Alors que les licences de taxi étaient proposées à des prix similaires à ceux d’une maison et représentaient un investissement à très long terme, les licences VTC étaient initialement plus abordables. Bien sûr, avec le temps, les prix se sont égalisés, et maintenant il existe déjà un marché de spéculation également dans le monde du VTC.

Où avoir une licence VTC ?

Dans chaque communauté autonome ou conseil municipal, il peut y avoir des réglementations différentes concernant les VTC et l’attribution des licences. Il n’est pas rare de constater qu’à l’heure actuelle, peu de licences sont accordées en Île de France, car toutes celles jugées nécessaires par l’organisme correspondant ont déjà été délivrées.

Cela nous amène au marché de la location, et ici il n’est pas difficile de les trouver sur des plateformes de trading.

Quelle est la raison de la polémique des VTC en Ile de France ?

Alors que les licences de taxi étaient très limitées et avaient des prix très élevés, conduisant à un marché de spéculation, l’apparition des VTC en France a permis aux chauffeurs d’entrer et de fournir un service très similaire à celui d’un taxi sans avoir besoin de ce grand investissement.

Ainsi, une si grande rivalité s’est formée entre les chauffeurs de taxi, qui ont investi une belle somme d’argent dans leur permis, et les chauffeurs de VTC, qui ont vu une opportunité commerciale et ont décidé d’en profiter.

Pour l’instant, on verra les taxis coexister avec les VTC

C’est pour cette raison que la législation est tenue responsable. Et au fil des ans, nous avons tout vu. Nous avons vu des plateformes qui ont fermé et renoncé à fournir des services dans notre pays.

On a vu des projets de loi qui tentaient de compliquer la vie des VTC ou même destinés à mettre fin à leur service. Et nous avons vu comment chaque communauté autonome a emprunté un chemin différent (et ce chemin pourrait changer à l’avenir).

En Île de France, il semble que les VTC pourront continuer à fonctionner sans problème et qu’il n’y aura pas de limites de licence spéciales. L’intention est que le secteur des taxis et les VTC soient condamnés à se comprendre.

Pendant ce temps, dans certains départements, un modèle pourrait être choisi dans lequel il y a un nombre proportionnel de taxis pour chaque VTC, dans un rapport limité par la préfecture, ce qui limiterait fortement la croissance des VTC, et donnerait un peu d’oxygène aux chauffeurs de taxi.

En tout cas, ce qui semble clair, c’est que les VTC ont atterri en France pour y rester, et qu’on les verra longtemps avec les taxis dans les rues.

Chauffeur VTC, ces conseils sont pour vous !

Respecter les limites de vitesse

Profiter de la vitesse est quelque chose qui peut se faire sans aucun problème avec les bonnes mesures et dans les espaces qui lui sont dédiés. Sur la rue et l’autoroute, il est toujours préférable de respecter les limites de vitesse, puisqu’elles sont établies selon l’environnement, les conditions ou s’il y a des écoles à proximité.

Connaître le code de la route et les avenues

La réglementation vise à améliorer l’harmonie des différents acteurs de la rue et de l’environnement, mais aussi à améliorer la sécurité de chacun. Par conséquent, respecter le sens des avenues ou d’un passage piéton vous aidera, vous et les autres, à vous déplacer en toute sécurité dans les rues.

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